Dr. Mark Trozzi

Agir maintenant pour mettre fin à l'OMS

Dr Tess Lawrie et Dr Peter McCullough, une vidéo d'une minute ; un excellent document du CME expliquant le pourquoi et le comment ; et deux actions stratégiques faciles à mettre en œuvre.

L'Organisation mondiale de la santé est l'un des principaux responsables des crimes contre l'humanité perpétrés par Covid. Voici les explications de deux voix en qui nous avons confiance, le Dr Tess Lawrie et le Dr Peter McCullough. (1 minute)

Voici une importante note d'information du Conseil mondial des politiques de santé. Il fournit des preuves, des analyses et des stratégies bien documentées pour mettre fin à la tyrannie mondiale de l'OMS, qui repose sur la fausse prémisse de la protection de notre "santé". Nous vous invitons à l'étudier et à le partager. Voici le résumé abrégé et le document complet.

Conseil mondial de la santé - Note d'information : Rejeter le pouvoir de monopole sur la santé mondiale, sur les amendements proposés au RSI et le traité de l'OMS sur les pandémies

Résumé

Rejeter le pouvoir de monopole sur la santé publique mondiale

Un groupe d'experts en sciences politiques et en droit a préparé une note d'information approfondie de 45 pages sur les amendements proposés au Règlement sanitaire international (2005) et au traité/accord de l'OMS sur les pandémies (CA+ de l'OMS). Ce document offre un aperçu professionnel des instruments juridiques proposés. Il présente également un historique des erreurs commises lors de la pandémie de COVID, décrit les tentatives faites pour faire de ces erreurs des normes acceptées et fournit des indications précieuses sur la manière de rectifier le tir avant qu'il ne soit trop tard. Les points essentiels de la note d'information sont présentés ci-dessous pour votre commodité.

mai 2023

Introduction

Des négociations sont en cours pour étendre considérablement le contrôle de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les réponses et la réflexion en matière de santé publique au niveau mondial par le biais a) d'amendements au Règlement sanitaire international (2005) et b) d'un traité/accord sur les pandémies (CA+ de l'OMS). Ces deux instruments peuvent être considérés comme complémentaires. Alors que les amendements proposés au RSI, s'ils sont approuvés, renforceraient considérablement les pouvoirs de l'OMS et de son directeur général vis-à-vis des États et des acteurs non étatiques, le traité sur les pandémies, dans sa forme actuelle, créerait une nouvelle bureaucratie supranationale coûteuse et imposerait un cadre idéologique dans lequel opérer en matière de santé mondiale.

L'Assemblée mondiale de la santé (AMS) a fixé à mai 2024 la date limite pour la mise aux voix des amendements proposés au RSI et au traité sur les pandémies. Les amendements au RSI sont adoptés par un vote à la majorité simple des délégués à l'Assemblée mondiale de la santé, sans autre procédure de ratification nationale. Les États conservent le droit de se retirer individuellement dans un délai déterminé (10 mois). S'ils ne le font pas, la version révisée s'applique automatiquement à eux. Le traité, quant à lui, nécessite une majorité des deux tiers à l'Assemblée mondiale de la santé, suivie d'une ratification nationale. Toutefois, conformément à l'article 35 du projet zéro du traité, l'accord peut entrer en vigueur à titre provisoire avant la conclusion des processus de ratification. L'adoption du traité de l'OMS sur la pandémie est envisagée au titre de l'article 19 (qui concerne l'adoption de conventions ou d'accords) de la Constitution de l'OMS, avec un examen supplémentaire de la pertinence de l'article 21 (qui concerne l'adoption de règlements).

Officiellement, les amendements au RSI et le traité sur les pandémies sont présentés comme des instruments permettant d'accroître la collaboration internationale, le partage efficace des informations et l'équité en cas de nouvelle crise sanitaire mondiale. De facto, ils peuvent se transformer en instruments visant à remplacer la collaboration internationale par des diktats centralisés, à encourager l'étouffement des dissidents et à légitimer un cartel qui impose aux populations des produits de santé axés sur les intérêts et générateurs de profits, au détriment de ceux qui fonctionnent mieux mais sont moins rentables.

Un certain nombre des amendements proposés au RSI (2005) fournissent un cadre juridique pour le pouvoir monopolistique de l'OMS sur certains aspects de la santé publique mondiale en temps de crise réelle et potentielle. Si ces amendements étaient approuvés, ce pouvoir serait exercé par quelques puissants donateurs primaires de l'OMS qui exercent un contrôle significatif sur l'organisation. Il convient de noter dans ce contexte que l'OMS ne contrôle pleinement qu'un quart environ de son propre budget. Le reste est constitué de contributions volontaires affectées par ses bailleurs de fonds. S'ils sont acceptés, certains des amendements du RSI (2005) permettraient aux intérêts particuliers qui ont compromis l'organisation (voir par exemple Cohen & Carter 2010) de normaliser et d'imposer la manière dont les États et même les acteurs non étatiques du monde entier doivent répondre aux urgences de santé publique et aborder une variété de questions de santé mondiale en général.

Mesures obligatoires et souveraineté des États

Certains des amendements proposés au RSI (2005) modifieraient la nature des recommandations temporaires et permanentes mentionnées aux articles 15 et 16 qui peuvent être émises par l'OMS et son directeur général, passant d'un avis non contraignant à une obligation de mise en œuvre par les États parties. L'article 15 du Règlement sanitaire international (2005) stipule ce qui suit : S'il a été déterminé [...] qu'une urgence de santé publique de portée internationale est en train de se produire, le directeur général émet des recommandations temporaires". L'article 16 ajoute que "l'OMS peut [également] faire des recommandations permanentes de mesures sanitaires appropriées [...] pour application systématique ou périodique". Dans le RSI (2005), les recommandations temporaires émises par le directeur général et les recommandations permanentes sont définies comme des conseils non contraignants à prendre en considération.{1}

Un certain nombre des nouveaux amendements proposés, s'ils étaient adoptés, changeraient la nature des recommandations qui peuvent être émises, les rendant obligatoires et juridiquement contraignantes. Les amendements y parviendraient en supprimant le qualificatif "non contraignant" de la définition des termes "recommandations temporaires" et "recommandations permanentes" à l'article 1, tout en insérant un mandat pour suivre ces recommandations dans une série d'articles ultérieurs. Dans son rapport, le Comité d'examen du Règlement sanitaire international de l'OMS (IHRRC) note, à propos du nouvel article 13A proposé : "Cette proposition [...] rend obligatoires les recommandations temporaires et permanentes visées aux articles 15 et 16." (OMS 2023 : 55) En ce qui concerne le paragraphe 7 de l'article proposé, le Comité de l'OMS poursuit que "ces propositions donnent effectivement à l'OMS le pouvoir d'instruire les États" (ibid. : 57). En ce qui concerne une proposition d'amendement à l'article 42, la CIRH explique la même chose : "La proposition d'amendement visant à inclure une référence aux recommandations temporaires et permanentes semble rendre l'application de ces recommandations obligatoire ". (ibid. : 67)

Différents amendements élargiraient également de manière significative les pouvoirs du directeur général, qui est choisi dans le cadre d'un processus non démocratique et opaque. Un amendement à l'article 15, par exemple, permettrait au Directeur général d'émettre des recommandations non seulement lors d'un PHEIC déclaré par lui, mais aussi dans toutes les situations dont il estime qu'elles sont susceptibles de le devenir (OMS 2023a : 15). Un ajout à l'article 42, quant à lui, stipule que les mesures de l'OMS telles que les recommandations faites par le Directeur général non seulement " sont engagées et menées à bien sans retard par tous les États Parties " mais que " les États Parties prennent également des mesures pour s'assurer que les acteurs non étatiques opérant sur leurs territoires respectifs se conforment à ces mesures " (ibid. : 22).

L'article 18 du RSI contient une liste non exhaustive de mesures que l'OMS peut demander aux États parties de mettre en œuvre par le biais de recommandations en ce qui concerne les personnes. Cette liste comprend notamment l'obligation de procéder à des examens médicaux, d'examiner la preuve des examens médicaux et des analyses de laboratoire, d'exiger la vaccination ou d'autres mesures prophylactiques, d'examiner la preuve de la vaccination ou d'autres mesures prophylactiques, de placer les personnes sous observation de santé publique, de mettre en œuvre des mesures de quarantaine ou d'autres mesures sanitaires et de mettre en œuvre un isolement ou un traitement (cf. OMS 2023a : 17).

Les amendements proposés qui rendraient obligatoires les recommandations émises par l'OMS ou son directeur général soulèvent de sérieuses questions quant à leurs ramifications pour la souveraineté des États et la gouvernance démocratique, qui doivent être abordées de toute urgence. Les réponses peuvent varier d'un pays à l'autre. Alors que l'OMS ne dispose d'aucun mécanisme d'application efficace vis-à-vis des pays à revenu élevé, les amendements proposés au RSI pourraient conduire des gouvernements puissants, alignés sur les directives de l'OMS ou même les soutenant, à faire valoir que celles-ci doivent être respectées et appliquées au niveau interne en raison de leur nature juridiquement contraignante dans le cadre d'un instrument de droit international. Les États-nations puissants et les acteurs privés alignés sur les directives, ainsi que l'OMS elle-même, pourraient en outre utiliser le RSI révisé comme cadre juridique pour tenter de légitimer le colonialisme sanitaire et exercer une pression financière sur les pays à faible revenu pour qu'ils se conforment aux directives, ce qui porterait gravement atteinte à leur souveraineté.

Contrer la dissidence au niveau mondial

Tant les modifications apportées au RSI (2005) que le projet de traité/accord sur la pandémie encouragent une collaboration mondiale systématique pour contrer les positions divergentes des gouvernements et de l'OMS - qui est une agence de l'ONU -, ce qui favorise la concentration du pouvoir sur l'information. Melissa Fleming, vice-secrétaire générale de l'ONU, a exprimé la conviction suivante lors d'une réunion du Forum économique mondial 2022 (2022 : 1) à Davos : "Nous possédons la science et nous pensons que le monde devrait la connaître.

Le projet de traité/accord sur la pandémie encourage tous les États parties - qu'ils soient démocratiques, autoritaires ou dictatoriaux - à identifier les profils de ce qui est perçu comme de la désinformation par l'OMS ou les États parties et à s'attaquer aux informations et aux opinions qui
s'écarter de la ligne officielle. La CIRH de l'OMS suggère même que l'OMS pourrait avoir l'obligation de "vérifier les informations provenant d'autres sources que les États parties" (OMS 2023 : 21). Elle affirme en outre que les droits de l'homme fondamentaux tels que la liberté d'expression et la liberté de la presse doivent être mis en balance avec ce que l'OMS et les gouvernements proclament être des informations exactes à un moment donné (cf. ibid. : 21). Ce discours est dangereux, antidémocratique et à l'opposé de ce qui devrait se passer sur la base des enseignements tirés de COVID.

Khosla & McCoy (2022 : 1-2) expliquent dans le British Medical Journal : "La tolérance à l'égard de la dissidence marque non seulement la capacité à remettre en question et à demander des comptes aux gouvernements (et à d'autres acteurs puissants) et la volonté de respecter les opinions minoritaires, mais elle encourage également le débat et la délibération au sein de la société de manière à favoriser le changement social positif et le développement. La dissidence peut contribuer à informer l'opinion publique, à modifier les politiques, à accélérer les réformes et à promouvoir et protéger d'autres droits de l'homme. La dissidence a joué un rôle central dans la promotion de l'égalité des sexes et des droits des femmes, ainsi que dans le renversement de l'oppression ethnique et raciale, comme l'illustrent le mouvement des droits civiques aux États-Unis et la lutte contre l'apartheid en Afrique du Sud. Elle a été un ingrédient essentiel dans de nombreuses campagnes réussies visant à protéger l'environnement naturel contre les dommages et la destruction. Dans le domaine de la santé, la dissidence a joué un rôle important dans la promotion de l'accès aux traitements contre la pandémie de VIH. [Le droit à la dissidence doit être respecté et considéré comme une expression saine de la démocratie et de la liberté, et nous devons nous efforcer consciemment de surveiller et de protéger ce droit en permanence. [...] Il est important que les professionnels de la santé fassent entendre leur voix [...] pour s'assurer que les mesures de contrôle de la pandémie ne servent pas de prétexte pour réprimer davantage les droits de l'homme, arrêter des journalistes et des militants ou introduire des lois draconiennes pour lutter contre les "fake news" (fausses nouvelles). [Ceux qui travaillent dans le domaine de la santé mondiale ont un rôle essentiel à jouer dans la protection, la préservation et la promotion de la pensée critique. Alors que nous sommes confrontés à des défis sans précédent, il est plus important que jamais de rester ferme et de défendre ces principes fondamentaux des droits de l'homme."

Surveillance : certificats de santé (numériques) et formulaires de localisation

Les amendements supplémentaires au RSI (2005) prévoient un système de surveillance élargi avec des certificats de santé (de préférence numériques) et des formulaires de localisation pour garantir le respect en masse des directives centralisées. Les amendements concernant l'utilisation de certificats de santé (numériques) ou de formulaires de localisation à des fins de contrôle et de surveillance ont été proposés non seulement pour les articles relatifs aux urgences sanitaires internationales, mais aussi pour l'article 23, qui traite des mesures sanitaires générales à l'arrivée et au départ. Selon la CIRH de l'OMS, cet article s'applique à toutes les situations, et pas seulement aux urgences de santé publique de portée internationale (PHEIC).

Les amendements proposés à l'article 23, par exemple, comprennent un "nouveau paragraphe 6 proposé [qui] introduit une référence spécifique aux formulaires de localisation des passagers parmi les documents qui peuvent être exigés, et une préférence pour que ceux-ci soient au format numérique" (OMS 2023 : 61). Un autre amendement propose d'inclure des informations concernant les tests de laboratoire dans les documents de santé des voyageurs. La CIRH parvient à noter : "[G]ue l'article 23 s'applique à toutes les situations, et pas seulement aux PHEIC, le Comité craint qu'une telle exigence ne surcharge les voyageurs et ne soulève même des problèmes d'ordre éthique et de discrimination." (ibid. : 62) De manière générale, la CIRH reconnaît également une préoccupation concernant "le niveau approprié de protection des données à caractère personnel" (ibid. : 66). 

Comme l'a expliqué le ministre indonésien de la santé Sadikin lors du sommet du G20 à Bali en novembre 2022, l'introduction de certificats de santé numériques globaux constitue l'un des principaux objectifs de la révision du RSI (2005). L'Indonésie elle-même a déjà commencé à mettre en œuvre des certificats de santé numériques obligatoires en utilisant une application qui peut être téléchargée via Android et Apple. Le pays fournit un exemple de la manière dont les certificats de santé numérique globaux, s'ils sont adoptés par le biais des amendements au RSI, peuvent être utilisés abusivement par ceux qui détiennent le pouvoir pour contraindre les personnes, y compris les enfants, à recevoir des traitements médicaux, pour restreindre leurs déplacements, pour obliger à l'utilisation personnelle de certaines applications numériques et pour exploiter ainsi des données (de santé) privées.

Droits et réglementation des cartels

Un certain nombre d'amendements au RSI (2005), s'ils sont approuvés, donneraient à l'OMS le pouvoir d'identifier, de produire et d'attribuer des produits de santé dans des circonstances spécifiques (cf. OMS 2023a : 13-14), la transformant de fait en un cartel. Dans le cadre du RSI révisé, l'OMS pourrait, par exemple, demander aux États parties d'augmenter la production d'un certain produit pharmaceutique - ce qui augmenterait les bénéfices du fabricant et/ou des actionnaires qui pourraient avoir des relations avec l'OMS - pour que l'OMS puisse ensuite le distribuer comme elle l'entend, mettant en place un système de patronage sur les bénéficiaires. L'un des amendements proposés prévoit également que l'OMS joue un rôle dans la création de "directives réglementaires normalisées pour l'approbation rapide de produits de santé de qualité" (OMS 2023 : 14).

L'infrastructure nécessaire à la mise en œuvre des amendements relatifs au mécanisme d'attribution de l'OMS serait établie par le biais du traité ou de l'accord complémentaire sur les pandémies. Ce dernier mettrait en place le réseau mondial de la chaîne d'approvisionnement et de la logistique de l'OMS (alias le réseau), s'il est adopté.

Soutien à la recherche sur le gain de fonction

Le projet de traité/accord sur les pandémies, en particulier, a également des implications négatives pour la sécurité (sanitaire) mondiale, car il soutient la recherche sur le gain de fonction en dépit des risques exceptionnels qu'elle présente pour la biosécurité (sur ces risques, voir par exemple Kahn 2023). Le projet de traité déclare que lorsqu'il s'agit de "laboratoires et d'installations de recherche qui effectuent des travaux pour modifier génétiquement des organismes afin d'accroître leur pathogénicité et leur transmissibilité", des normes doivent être respectées afin "d'empêcher la dissémination accidentelle de ces agents pathogènes", mais qu'il faut veiller à ce que "ces mesures ne créent pas d'obstacles administratifs inutiles pour la recherche" (OMS 2023b : 16). Étant donné qu'une fuite en laboratoire d'un virus créé par l'homme est très probablement à l'origine de la crise du COVID, le traité proposé sur les pandémies révèle une méconnaissance inquiétante des ravages exceptionnels qui peuvent être causés par les risques de biosécurité associés à la recherche sur le gain de fonction avec des agents pathogènes susceptibles de provoquer des pandémies. Le monde pourrait être témoin de la fuite ou de la libération d'un virus modifié beaucoup plus mortel que le SARS-CoV-2.

Conclusion

Un certain nombre des amendements proposés au RSI et le traité sur la pandémie (CA+ de l'OMS) - s'ils sont adoptés - seront inévitablement utilisés pour promouvoir les intérêts d'un petit nombre d'acteurs puissants au détriment des autres. Ils représentent une tentative sans précédent de légaliser la concentration d'un pouvoir non démocratique sous un faux prétexte qui nécessite une réponse rapide, efficace et solide. Certains des amendements proposés au RSI (2005), en particulier, constituent un cadre pour l'exercice illégitime d'un pouvoir gouvernemental mondial sans accord populaire, sans mécanismes de contrôle constitutionnel et sans obligation de rendre des comptes. En tant que tels, ils créent un dangereux précédent s'ils sont adoptés.

Le cadre juridique envisagé pour le pouvoir de monopole sur certains aspects de la santé publique mondiale ne conduira pas à une meilleure préparation aux pandémies, mais à la répétition de certaines des pires décisions prises pendant la pandémie de COVID en cas d'urgence future. Le cadre juridique envisagé pour le pouvoir de monopole sur certains aspects de la santé publique mondiale n'est pas un signe de progrès, mais représente un retour en arrière dans le développement humain, à l'époque des empires centralisés, des systèmes féodaux et du colonialisme.

Il est bien établi que le pouvoir de monopole élimine le libre choix et la concurrence, violant ainsi les droits individuels tout en réduisant considérablement la qualité des solutions et de l'innovation. Il existe peu de domaines où les conséquences sont aussi graves que dans celui de la santé humaine. La concentration excessive du pouvoir constitue également une menace pour les systèmes démocratiques et le droit des peuples à l'autogouvernance. Les démocraties sont préservées en empêchant l'accumulation de pouvoir concentré et en brisant les monopoles, tout en sauvegardant les valeurs démocratiques essentielles.

Références

COHEN, D. ET CARTER, P. (2010). L'OMS et les "conspirations" sur la grippe pandémique. British Medical Journal (BMJ) ; 340 :c2912 doi:10.1136/bmj.c2912.

KAHN, Laura H. (2023). Les sept péchés capitaux de la recherche biomédicale. Georgetown Journal of International Affairs. https://gjia.georgetown.edu/2023/03/03/the-seven-deadly-sins-of-biomedicalresearch/.

KHOSLA, R., & MCCOY, D. (2022). Dissent and the right to protest in context of global health (dissidence et droit de protester dans le contexte de la santé mondiale). BMJ Global Health 2022 ; 7:e011540. doi:10.1136/ bmjgh-2022-011540.

OMS (2023). Rapport du Comité d'examen concernant les amendements au Règlement sanitaire international (2005). https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_5-en.pdf.

OMS (2023a). Compilation article par article des amendements proposés au Règlement sanitaire international (2005) soumis conformément à la décision WHA75(9) (2022). https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_7-en.pdf.

OMS (2023b). Projet zéro du CA+ de l'OMS pour examen par l'organe intergouvernemental de négociation à sa quatrième réunion. https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb4/A_INB4_3-en.pdf

FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL (2022). Réunions sur l'impact du développement durable 2022. Lutte contre la désinformation. https://www.weforum.org/events/sustainable-development-impact-meetings2022/sessions/tackling-disinformation.

Note d'information complète voir ou télécharger ici 

Appel à l'action aidez-nous à partager les documents éclairants ci-dessus avec les politiciens, les candidats et les personnes influentes aux niveaux local, provincial et fédéral. Vous leur fournirez des preuves solides des crimes et des plans infâmes de l'OMS, ainsi qu'une feuille de route pour sortir de l'OMS et y mettre fin.  

2e appel à l'action / Pétition canadienne. Leslyn Lewis est une députée conservatrice au Canada. Elle a lancé une pétition en ligne pour retirer le Canada de l'ONU, de l'OMS et de l'AGENDA 2030. Cette pétition sera lue à la Chambre des communes du Canada et, une fois lue, elle sera rendue publique. La pétition a déjà recueilli plus de 10 000 signatures. Merci de signer et de partager. (MISE À JOUR 20231103 Il y a maintenant 45 676 signataires et en train de grimper). 

Liens et matériel connexe

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18 commentaires

  1. Pourquoi QUELQU'UN dans ce monde devrait-il suivre les diktats d'un organisme non élu ?
    de voyous qui veulent manifestement prendre le contrôle afin de pouvoir continuer à nous rendre malades &
    nous tuer pour leur propre cupidité. Ils ont déjà montré leur vrai visage avec l'escroquerie Covid. Ils doivent être poursuivis en justice ! !!!

  2. Il est incroyable que nous ayons encore des liens avec l'une ou l'autre de ces personnes, qu'il s'agisse du WWF ou de l'UN.
    L'un des principaux objectifs de chaque organisation est le dépeuplement du monde.
    Il n'est pas nécessaire d'envisager des amendements à quoi que ce soit. Ces groupes opèrent de concert et sont purement diaboliques. Je ne peux pas imaginer que quelqu'un qui prend le temps de lire leurs sites web puisse les qualifier autrement.
    Ils ont très clairement démontré qu'ils sont des criminels odieux rien que par la façon dont ils ont traité Covid.
    Que faut-il pour rompre les liens ? Une pétition signée par 95% de la population du pays ?
    J'aime ce que fait l'Alberta et j'espère sincèrement qu'elle quittera la Confédération si c'est ce qu'il faut pour que la province dise non à tout lien avec ces voyous.

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