Étude israélienne : Comparing SARS-CoV-2 natural immunity to vaccine-induced immunity : reinfections versus breakthrough infections.
Ventilation
Cette étude israélienne de 2021 compare l'immunité naturelle et l'immunité induite par une injection de Pfizer. Nous avons discuté de cette recherche dans le contexte d'autres billets, articles et interviews, mais nous aimerions maintenant vous en donner un bref aperçu direct.
Cette étude a porté sur plus de cent mille sujets et a comparé 3 groupes :
- Groupe 1. Les personnes qui n'ont jamais été infectées par le SRAS-CoV2 et qui ont reçu deux injections Pfizer ;
- Groupe 2. Les personnes qui ont déjà été infectées par le SRAS C0V2 et s'en sont remises, et qui n'ont pas reçu d'injections de covid ; alias "le groupe naturellement immunisé" ;
- Groupe 3. Les personnes qui ont été précédemment infectées par le CoV2 du SRAS et s'en sont remises, et qui ont également reçu une injection Pfizer.
Résultats :
- Les infections avec la variante delta étaient 13 fois plus probables dans le groupe doublement "vaxxé" que dans le groupe naturellement immunisé.
- La maladie de covid 19 symptomatique était 27 fois plus probable dans le groupe doublement "vaxxé" que dans le groupe naturellement immunisé.
- Les hospitalisations étaient 7 fois plus probables dans le groupe doublement "vaxxé" que dans le groupe naturellement immunisé.
- Si l'on compare le groupe qui a été infecté précédemment et qui a reçu une injection, au groupe naturellement immunisé, les injections n'ont démontré aucun avantage statistiquement significatif.
C'est une très mauvaise performance de la part de ces soi-disant "vaccins".
En plus des résultats de cette étude, nous savons que l'immunité naturelle est durable pendant de nombreuses années et qu'elle fonctionne contre une variété de corona-virus et leurs variantes. En revanche, les anticorps induits par injection ont une efficacité très limitée, sont facilement contournés par de légères variations génétiques du virus et facilitent l'évolution de variantes particulièrement dangereuses pour les mêmes personnes qui ont reçu l'injection.
De plus, même dans les premiers temps qui suivent ces injections, nous constatons un nombre record d'événements indésirables et de décès. En dix mois aux États-Unis, ces soi-disant "vaccins" ont causé plus de décès que tous les vaccins réunis au cours des trente dernières années.
Pas sûr. Pas efficace. L'immunité naturelle, combinée à un traitement précoce et sûr en cas de besoin, est la solution.
